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les 8 étapes pour réussir le changement - J.Kotter

Les 8 étapes pour réussir le changement.

 

Planter le décor.

1.Créer un sentiment d’urgence ; aider les autres à percevoir la nécessité du changement et l’importance d’agir immédiatement.

2.Réunir l’équipe de pilotage ; Confier la responsabilité du pilotage du changement à un groupe soigneusement sélectionné – un groupe doté de compétences de leadership, de crédibilité, de capacité de communication, d’autorité, de compétences analytiques, et uni autour d’un sentiment d’urgence.
Décider quoi faire.

3.Développer la vision et la stratégie de changement ; préciser en quoi l’avenir sera différent du passé et comment cet avenir peut devenir réalité.
Enclencher le mouvement

4.Communiquer pour faire comprendre et adhérer ; veiller à ce que le plus grand nombre possible de personnes comprennent et acceptent la vision et la stratégie (il faut avoir formulé la stratégie en objectifs que chacun puisse s’approprier pour donner du sens à ses actions – ndlr).

5.Donner aux autres le pouvoir d’agir ; dégager la voie pour ceux qui veulent transformer la vision en réalité puissent agir.

6.Produire des victoires à court terme ; Créer des succès visibles le plus rapidement possible.

7.Persévérer ; renforcer et accélérer le mouvement après les premiers succès. Initier sans relâche changement après changement jusqu’à ce que la vision soit devenue réalité.
Pérenniser

8.Créer une nouvelle culture ; Soutenir les nouveaux comportements et veiller à ce qu’ils soient productifs, jusqu’à ce qu’ils deviennent suffisamment forts pour remplacer les anciennes traditions.

Origine : Alerte sur la banquise de J.KOTTER et H.RATHGEBER.

Chacune de ces étapes mériterait d'être développée en 7+/- 2 pratiques; J'ai quelques idées mais suis curieux de votre contribution.

Commentaires

  • Bonsoir,
    "point 1°) créer un sentiment d'urgence."

    Ce point me laisse perplexe. Il traduit pour moi le fait de vouloir justifier son action. Ne pourrait-elle pas être justifiée par des arguments construits, valables, et nécessitant alors réellement un changement ?

    Une action enclenchée sur une amélioration visible ne vaut-elle pas mieux qu'une action enclenchée sur une situation montrée "urgente" ?

  • Bonjour Clément,
    Le sentiment d'urgence n'est pas en soi une action urgente mais veut expliquer que si rien n'est fait, alors, il pourrait y avoir des conséquences graves...par exemple, le changement climatique, la disparition d'espèces, etc. nous est expliquée avec un sentiment d'urgence. La notion de "sentiment" est aussi importante que la notion d'urgence; il ne s'agit pas d'actions urgente, mais de mobiliser la majorité à se préparer à agir, être, se comporter, etc; différemment. Il n’ya pas de contradiction entre des arguments construits, valables et nécessitant un réel changement pour « favoriser » un sentiment ; bien au contraire.
    Cette histoire de Sentiment est aussi à considérer dans la manière dont « nous » prenons nos décisions ; Rien ne se fait sans une « dimension » émotionnelle et c’est là que le sentiment prend toute sa place.
    Est-ce plus clair?

  • Je prends note !
    Clément

  • Excellent, je ne sais que dire si ce n'est que j'ai adoré vous lire. D'habitude je ne commente jamais les blogs, même si leur contenu est excellent, mais là le vôtre méritait vraiment mes éloges !

  • Merci de vos commentaires, je les prends pour des encouragements à poursuivre.

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